Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- 112
Cote : N3 DUF
RESUME DE L'EDITEUR : Nul ne conteste que la santé et l’éducation constituent des priorités absolues. Mais la situation actuelle n’incite pas à l’optimisme : neuf millions d’enfants meurent chaque année avant l’âge de cinq ans de maladies que l’on sait guérir et, en Inde, la moitié des enfants scolarisés ne sait pas lire. Pour remédier à cet état de fait, Esther Duflo évalue localement et concrètement les programmes de lutte contre la pauvreté, à l’aide d’une méthode révolutionnaire : l’expérimentation aléatoire. De l’Inde au Malawi, du Kenya au Mexique, cette méthode permet de répondre à de nombreuses questions : comment rendre plus efficaces les campagnes de vaccination ? Comment améliorer l’instruction des enfants à moindre coût ? Comment lutter contre l’absentéisme des enseignants et des infirmières ? La santé et l’éducation sont les préalables non seulement au bien-être social, mais aussi à la liberté : ce livre montre comment les faire progresser de manière décisive.
Première titulaire de la chaire « Savoirs contre pauvreté » au Collège de France, Esther Duflo est professeur en économie du développement au MIT et fondatrice de J-PAL, laboratoire d’action contre la pauvreté. En 2009, elle a reçu le prestigieux prix MacArthur, qui récompense les recherches les plus novatrices. Elle publie pour la première fois une synthèse de ses travaux.
RESUME DE L'EDITEUR : Nul ne conteste que la santé et l’éducation constituent des priorités absolues. Mais la situation actuelle n’incite pas à l’optimisme : neuf millions d’enfants meurent chaque année avant l’âge de cinq ans de maladies que l’on sait guérir et, en Inde, la moitié des enfants scolarisés ne sait pas lire. Pour remédier à cet état de fait, Esther Duflo évalue localement et concrètement les programmes de lutte contre la pauvreté, ...
... Lire [+]
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- 104
Cote : N3 DUF
RESUME DE L'EDITEUR : « Rendre aux pauvres la lutte contre la pauvreté. » Telle est aujourd’hui la devise de nombreux acteurs nationaux et internationaux, soucieux de responsabiliser les pauvres en leur donnant les moyens de l’autonomie. Mais, avant d’opter pour telle ou telle solution, il faut en mesurer l’efficacité. Le microcrédit est-il cette solution miracle grâce à laquelle le paysan misérable du Bangladesh pourra s’enrichir ? Les conseils de village, en Inde ou en Afrique, permettent-ils vraiment aux communautés de prendre leur destin en mains ? En étudiant la situation sur le terrain, Esther Duflo démontre les naïvetés et les approximations d’un discours qui entend tout miser sur l’initiative des pauvres. Car ni la microfinance ni la gouvernance locale ne peuvent se substituer à des politiques publiques visant à créer des services de santé, à garantir l’offre éducative, à construire des infrastructures, à lutter contre la corruption. Expérimenter sans relâche pour améliorer concrètement la vie des pauvres : c’est ainsi que la vie civique pourra s’épanouir dans les pays en voie de développement.
Première titulaire de la chaire « Savoirs contre pauvreté » au Collège de France, Esther Duflo est professeur en économie du développement au MIT et fondatrice de J-PAL, laboratoire d’action contre la pauvreté. En 2009, elle a reçu le prestigieux prix MacArthur, qui récompense les recherches les plus novatrices. Elle publie pour la première fois une synthèse de ses travaux.
RESUME DE L'EDITEUR : « Rendre aux pauvres la lutte contre la pauvreté. » Telle est aujourd’hui la devise de nombreux acteurs nationaux et internationaux, soucieux de responsabiliser les pauvres en leur donnant les moyens de l’autonomie. Mais, avant d’opter pour telle ou telle solution, il faut en mesurer l’efficacité. Le microcrédit est-il cette solution miracle grâce à laquelle le paysan misérable du Bangladesh pourra s’enrichir ? Les conseils ...
... Lire [+]