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- 257
Cote : H MAU
Qu’entendre par éducation populaire (Introduction).
L’éducation populaire et la question des savoirs et de la culture.
– Instruction publique, démocratisation de la culture et éducation populaire : alliances ? Divergences ? Oppositions ?
– L’art et la culture : de ceux qui les pratiquent à ceux qui les diffusent. La question de l’ « enculturation ».
– De la culture comme objet de contemplation à la culture comme travail. Les pas de plus et / ou de côté de l’éducation populaire.
– artistes en résidence et éducation populaire : ce que nous apprennent l’expérimentation et l’observation.
– L’idée de « Scène Culturelle de Proximité ».
– L’appropriation et la construction des savoirs. L’apport de l’éducation populaire.
L’éducation populaire et les questions sociales et politiques.
– Contradictions, crises, bouleversements, affrontements. Ce que peut l’éducation populaire.
– La réduction des inégalités sociales et culturelles : pourquoi et comment l’éducation populaire doit y contribuer ?
– La crise de la démocratie représentative délégataire : une préoccupation devenue centrale pour une éducation populaire politique ?
– Le développement fulgurant des connaissances scientifiques et des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication. Que peut dire et faire l’éducation populaire ?
– Questionner notre imaginaire social : une préoccupation nouvelle pour l’éducation populaire ?
L’éducation populaire et la fabrique de l’Histoire.
– De l’histoire qui nous fait à l’histoire que nous faisons. Place et rôle de l’éducation populaire.
– De l’assujettissement à l’autonomie. Comment l’éducation populaire contribue-t-elle à faire des individus des auteurs de l’Histoire ?
– Les évènements décisifs de l’Histoire. L’éducation populaire sert-elle à faire la révolution ?
L’éducation populaire comme praxis culturelle instituante (conclusion).
Post scriptum. Vers des Etats Généraux de la transformation sociale et politique ?
Bibliographie.
Quelques outils, méthodes et processus d’éducation populaire (Appendice).
Qu’entendre par éducation populaire (Introduction).
L’éducation populaire et la question des savoirs et de la culture.
– Instruction publique, démocratisation de la culture et éducation populaire : alliances ? Divergences ? Oppositions ?
– L’art et la culture : de ceux qui les pratiquent à ceux qui les diffusent. La question de l’ « enculturation ».
– De la culture comme objet de contemplation à la culture comme travail. Les pas de plus et / ou ...
EDUCATION POPULAIRE ; HISTOIRE DE L'EDUCATION POPULAIRE ; DEMOCRATIE ; EDUCATION DU PEUPLE ; CULTURE ; PUISSANCE D'AGIR ; ASSOCIATION ; ENCULTURATION ; M.J.C.
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- 396
Cote : I1 RIC
Présentation de l'ouvrage : Parcours de reconnaissance - revue Sciences Humaines N° 149 - Mai 2004
Cet essai naît du constat qu'il n'existe pas à ce jour de théorie de la reconnaissance qui considère ce concept dans toute son extension. Paul Ricoeur décide donc de tenter un pari : surmonter la diversité des sens de la reconnaissance pour produire un discours philosophique cohérent. Son point de départ est un travail lexicographique à partir des définitions du verbe « reconnaître » données par le Dictionnaire de la langue française d'Emile Littré et la deuxième édition du Grand Robert. Fort de cette analyse, P. Ricoeur décide de considérer trois acceptions de la reconnaissance : la reconnaissance comme identification (d'un objet ou d'une personne), la reconnaissance de soi et la reconnaissance mutuelle. Il s'appuie sur l'examen d'une chaîne d'« événements de pensée » (tel le geste cartésien du cogito, premier jalon d'une herméneutique de soi) qu'il confronte, évalue et articule. Ne nous en cachons pas : le texte est érudit, sinueux et de ce fait difficile. Mais il est aussi traversé par de belles pauses pour l'esprit. Ainsi, à la fin de la première étude, l'analyse d'un passage du Temps retrouvé de Marcel Proust où le narrateur retrouve à la faveur d'un dîner les êtres qui ont peuplé ses soirées mondaines d'autrefois et qu'il reconnaît à grand-peine. Cette scène met en évidence le risque de la méprise et montre tout ce qui sépare la reconnaissance des choses de la reconnaissance des personnes : si reconnaître une chose, c'est l'identifier par ses caractères génériques ou spécifiques, reconnaître une personne, c'est au contraire prêter attention aux traits individuels.
Dans la deuxième étude, « le soi a pris la place du quelque chose en général ». P. Ricoeur soutient que se reconnaître soi-même, c'est reconnaître ses capacités d'agir (autrement dit pouvoir dire, pouvoir faire, pouvoir raconter et se raconter et bien sûr être imputable de son action). Mémoire et promesse constituent les deux sommets de cette reconnaissance de soi : « La mémoire est ce qui me permet de me reconnaître comme étant le même à travers le temps tandis que la promesse marque la volonté de rester constant en dépitdes vicissitudes. » La figure de l'autre n'apparaît encore qu'en creux.
La troisième étude tente alors de montrer que la lutte pour la reconnaissance (telle que l'a analysée Georg Wilhelm Friedrich Hegel) peut parfois être dépassée par une reconnaissance mutuelle et pacifiée sur le modèle du don réciproque qui fait l'expérience de la gratitude. Mais il ne s'agit là que d'« une pause dans la dispute »...
Présentation de l'ouvrage : Parcours de reconnaissance - revue Sciences Humaines N° 149 - Mai 2004
Cet essai naît du constat qu'il n'existe pas à ce jour de théorie de la reconnaissance qui considère ce concept dans toute son extension. Paul Ricoeur décide donc de tenter un pari : surmonter la diversité des sens de la reconnaissance pour produire un discours philosophique cohérent. Son point de départ est un travail lexicographique à partir des ...
PHILOSOPHIE ; PUISSANCE D'AGIR ; RECONNAISSANCE ; CAPABILITE ; RELATION A L'AUTRE ; RESPONSABILITE
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