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Depuis quelques années la lutte contre les violences faites aux femmes est devenue une préoccupation centrale pour les pouvoirs publics. En effet, un grand nombre de mesures ont été prises ces dernières années pour combattre ce fléau qui a causé la mort de 104 femmes en 2022.

50 % des féminicides ont lieux en zone rurale alors que seulement 31 % de la population y habite. Dans son rapport du 14 octobre 2021 la délégation aux droits des femmes du Sénat insiste sur le fait "d'adapter les conditions d'accueil et de prise en charge des victimes de violence en milieu rural". En effet sur les territoires ruraux les réponses apportées aux victimes peuvent être plus limitées que dans les zones urbaines, les réponses sociales peuvent être moins accessibles pour certaines victimes du fait de l'isolement, des problèmes de mobilités, du "quand dira-t-on" dans des villages où tout le monde se connait.

Ce dossier technique m'a permis de faire un état des lieux des difficultés que peuvent rencontrer les femmes victimes de violences conjugales en zone rurale, et en qualité de responsable de service, de proposer des pistes de réflexions pour améliorer la prise en charge et l'accompagnement de ces femmes.

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RESUME de l'étudiant :
Certains facteurs d'exclusion, cumulés ou non, peuvent générer une situation d'isolement pour des personnes atteintes de troubles psychiques vivant en logement autonome. En effet, la souffrance psychique ressentie, l'impact de la maladie sur la cellule familiale, les entraves relationnelles dues à la pathologie, de faibles ressources financières et des représentations sociales stigmatisantes, peuvent déstabiliser un équilibre établi pour des personnes déjà fragilisées. Dans certains cas, cela peut engendrer la perte du logement et un retour à l'hôpital ou en institution psychiatrique. Les politiques sociales actuelles privilégient, dans la mesure du possible, un accompagnement à domicile par le biais de services adaptés tels que les SAVS ou SAMSAH pour soutenir les personnes dans leur environnement. Pour autant, l'offre de service de ces dispositifs d'accompagnement présente ses limites et ne peut éviter que certaines situations ne s'aggravent. Les conséquences de l'isolement sont parfois dramatiques et viennent mettre en échec un projet de vie autonome en appartement. Quelle alternative peut-on proposer aux personnes touchées par un handicap psychique pour se maintenir dans un bail de droit commun ?

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RESUME de l'étudiant
Sur le Haut Plateau ardéchois, le pays de Saint-Agrève est un bassin de vie de 4 300 habitants, caractérisé par un climat rigoureux et une altitude moyenne de 1000 mètres.
C'est un espace à dominante rurale mais avec des caractéristiques industrielles, notamment sur le bourg centre de Saint-Agrève (2 500h et 500 emplois industriels). La population est touchée par un vieillissement important (32% de plus de 60 ans) et surtout en progression depuis le milieu des années 80. Autour de Saint-Agrève, commune qui concentre les services publics et la majorité des emplois, 8 villages de 100 à 300 habitants se trouvent à 20 minutes en moyenne du bourg centre. L'habitat est très dispersé autour des villages, renforçant le sentiment d'isolement d'une partie de la population, notamment en période hivernale. Les personnes âgées, les jeunes adultes sans moyen de locomotion, les bénéficiaires de minimas sociaux, se sentent de plus en plus isolés.
Le territoire possède un cadre de vie exceptionnel, le tissu associatif est riche, et les relations entre les personnes, la solidarité et la tradition d'accueil ne sont pas de vains mots.
Le centre socioculturel de Saint-Agrève est une association (crée en 1987) qui œuvre au développement de l'animation de la vie sociale, à travers des activités et services aux habitants. Avec 610 adhérents (dont 40%) issus des communes limitrophes du bourg centre, il touche un large public, ces activités se concentrent actuellement sur Saint-Agrève.
Le conseil d'administration a validé dans son projet social 2017-2020, une démarche de réflexion autour du développement des activités de la structure sur un territoire élargi au bassin de vie de Saint-Agrève. Le diagnostic qui en a suivi, fait apparaître un besoin des communes et des habitants autour de problématiques comme : l'accès aux droits, les animations, la lutte contre l'isolement, la mobilité.
L'association est actuellement à la « croisée des chemins », avec un modèle de gestion de plus en plus entrepreneurial, et en même temps, avec l'obligation de rester à l'écoute de son public, notamment les plus fragiles et en tenant compte des politiques publiques qui s’appuient de plus en plus sur les acteurs de proximité alors même que les financements sont désormais contraints.
Tout ceci se mêle pour proposer un projet innovant et structurant qui vise à assurer une proximité sur des territoires à travers une maison des services public itinérante, complétée par un « café-mobile », qui permettra l'émergence de projets initiés par les habitants eux-mêmes en fonction de leurs besoins et envies.

L'AUTISME TROUBLE ENVAHISSANT DU DEVELOPPEMENT
Comprendre
De la compréhension au traitement éducatif

AUTISME LE PROBLEME DE LA SIGNIFICATION
Comprendre
De la compréhension au traitement éducatif : une autre façon de comprendre

LA COMMUNICATION
Comprendre
De la compréhension au traitement éducatif

INTERACTIONS SOCIALES
Comprendre
De la compréhension théorique au traitement éducatif

PROBLEMES RELATIFS A L'IMAGINATION
Comprendre
De la compréhension à l'accompagnement : une question d'équilibre